Dans les années 1990, le zonage a été modifié dans le secteur pour n’autoriser que du développement commercial. Or, le terrain est peu adapté à une fonction commerciale et plusieurs projets résidentiels ont été rejetés par le CCU. La maison s’est peu à peu délabrée. À la demande de l’arrondissement, une firme d’ingénierie a évalué le bâtiment en 2019. Leur rapport indique que son état nécessiterait des investissements majeurs pour le stabiliser et le remettre en ordre. En décembre 2019, l’arrondissement a émis un avis pour informer les propriétaires qu’ils devront quitter les lieux et sécuriser le bâtiment. Elle a été détruite au début de 2020, mais l’arrondissement de Mercier – Hochelaga-Maisonneuve a mandaté l’Atelier d’histoire de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve pour dresser un inventaire patrimonial du quartier pour éviter que de telles situations se reproduisent.