Il s’agit d’un édifice phare dans la portion est du centre-ville, un témoignage important de l’histoire populaire du Québec ayant abrité les bureaux et les presses du journal La Patrie. Ses deux façades néoclassiques monumentales en calcaire de taille sont particulièrement remarquables et, jusqu’à récemment, bien conservées. Un mouvement religieux a acheté l’immeuble des mains de l’UQAM en 2007 et le laisse à l’abandon depuis ce temps.

En 2018, l’arrondissement a confirmé l’usage cultuel du bâtiment même si un usage commercial doit être maintenu dans la partie nord du rez-de-chaussée. Les façades devrait être maintenues dans le cas d’un éventuel projet de requalification.